Bisexuel devenu slave gay

Catégories : Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 9 ans

A défaut de relation avec les filles, ma sexualité a débuté très tôt avec les garçons par de petits jeux de touche pipi et quelques fellations. Hormis ces quelques plaisirs les garçons ne m’attiraient pas, ils étaient juste un palliatif. De 18 ans à 25 ans la gente féminine m’a apporté le plaisir attendu mais les rapports de domination soumission me manquaient.

Avec le développement d’internet, le BDSM est devenu un besoin, dominer ou être dominé me plaisait beaucoup, les sensations apportées par les entraves et les douleurs érotiques complétaient agréablement mes rapports conventionnels. De femmes en femmes, des simples vanilles aux plus coquines, j’ai découvert que je préférais être soumis même si en dominateur je m’amusais. Trouver une Maîtresse non vénale n’est pas aisé, elles sont rares mais j’en ai rencontrées et j’ai même fait un bout de chemin avec deux femmes domina dont une que j’ai convertie de soumise en Maîtresse.

Ma dernière séparation m’a laissé un goût amer, c’est dans le BDSM que je me suis relevé en vivant ma soumission avec des hommes sans pour autant avoir des rapports sexuels. Et puis il y a eu Guy, un dominateur gay aussi pervers qu’excellent guide et Maître. Il m’a fait découvrir plusieurs formes de jouissances qui m’étaient inconnues.

La jouissance dans la douleur c’est dingue

Lors de mes discussions avec Guy, je lui ai fait part de mon désir de vivre une expérience forte dans la douleur SM, ne pas pouvoir dire « stop » devoir encaisser sans possibilité de fuite. Mon cœur malade d’amour m’a poussé dans des folies comme thérapie, un véritable lavage de cerveau me permettant d’oublier en vivant autre chose.

Guy a commencé par me mettre sous cage de chasteté en gardant les clés d’un cadenas qu’il avait acheté pour moi. Alors que je lui faisais part de mes sensations de frustration et des plaisirs dingues qu’elle générait en moi, il m’a demandé si j’étais toujours motivé pour vivre une expérience masochiste hard et sans limites pour moi. Comme j’avais une confiance totale en lui, j’ai accepté en sachant que, hormis souffrir, ma santé ne serait pas menacée. Cet enculé m’a laissé une semaine de plus sous cage de chasteté en organisant une soirée où je serai la vedette. Pendant cette semaine d’attente, ne pouvant me branler, pour compenser les plaisirs de la frustration je me suis explosé le cul avec des plugs de plus en plus gros, un fois j’ai même cru que j’allais jouir sans me toucher la queue.

Le fameux samedi, j’ai réellement été la vedette de la soirée mais avec le rôle de larve. Deux couples étaient là, ils se connaissaient bien et pratiquaient déjà le BDSM ensembles depuis des lustres. Une des Maîtresses présentes s’est fait lécher les bottes et m’a défoncé au gode ceinture sur le canapé. Penché en avant, la vedette offrait un spectacle pitoyable en grimaçant en suppliant qu’elle aille plus doucement mais Guy m’a rappelé que je n’avais plus le droit de dire stop ni de demander quoi que ce soit.

Pour me punir de mes suppliques, il m’a accroché des pinces à sein de sadiques pendant que l’autre Maîtresse s’éclatait en me cassant le cul à son tour avec un gode ceinture monstrueux. Le martèlement anal de la larve rythmait avec le tintement du cadenas de ma cage de chasteté pendant que les pinces à sein se balançaient elle aussi en rythme. J’ai bien cru me pisser dessus sous le gode ceinture, en fait j’étais en train de couler, ma prostate et mon cul encaissant de sérieux coups, du sperme s’écoulait lentement par le trou de ma cage de chasteté.

A la suite de quoi, elles m’ont mis à quatre pattes et m’ont donné de sérieux coups de martinet sur les fesses et le dos en m’obligeant à lécher les gouttes de sperme tombées sur le carrelage. La chose faite, Guy est entré en scène en menottant mes poignets autour de mon cou grâce à un gros collier de soumission équipé d’anneaux. Les lanières des martinets de folie qu’il a achetés chez ABCplaisir se sont abattues sur tout mon corps, du dos au ventre en passant par le cul et les cuisses, sans oublier ma poitrine dont les tétons avaient été débarrassés des pinces à sein.

Quand Guy est a saisis ses fouets j’étais déjà dans un autre monde. Il m’a fouetté doucement au début puis de plus en plus durement. Debout dans son salon avec les poignets attachés à mon collier, je ne pouvais que danser sous les coups. Jugeant que cela suffisait il m’a annoncé que pour arrêter, je n’avais qu’à m’allonger par terre mais moi, je n’avais pas envie d’arrêter. J’avais mal quand son fouet me lacerait mais entre les coups reçus, une forme de chaleur m’envahissait, les fourmillements sur le corps devenaient divins. Guy a insisté en me disant que cela n’était pas un défi, que je pouvais me coucher quand je voulais mais je n’en avais toujours pas envie, c’était trop bon.

Trois coups plus appuyés ne me faisant toujours pas plier puisque je planais sur la stratosphère du plaisir, il m’en a donné deux à pleine puissance et là, je me suis écroulé sur le sol. Le carrelage froid était si bon sur mon corps bouillant que j’en voulais encore mais il a refusé. Et là, tout mon corps s’est mis à trembler, mes yeux se sont mis à couler, non pas de chagrin ou de douleur non, cela n’a rien à voir, mais sous les contractions de tous mon corps, plus rien ne fonctionnait normalement. J’en voulais encore mais Guy avait décidé que cela suffisait. Ce fut mon premier subespace et ma première jouissance SM sans toucher à mon sexe resté mou dans sa cage de chasteté.

Il se faisait tard, les invités sont partis, j’ai eu le droit d’embrasser leurs chaussures mais il ne m’a pas libéré. Si d’habitude dans les petites soirées il me fait ranger la maison avant que nous nous séparions, là, il en avait décidé autrement. Il voulait sa part de jouissance ! Installé dans son canapé en sirotant un verre de cognac il m’a imposé de lui faire une pipe, chose que j’ai faite sans souci. Je trouvais sa queue douce et bonne, la sentir grossir dans ma bouche m’excitait sauf quand il m’a indiqué que ce soir j’allais devoir le boire. Devant mon refus il m’a rappelé que je n’avais pas le droit de dire « stop » puis m’a envoyé chercher son fouet court avec mes dents, mes poignets étant toujours menottés.

Il s’est mis debout et m’a ordonné de se sucer. Quand j’ai pris sa bite dans la bouche, sa main gauche est passée derrière ma tête pour me plaquer contre lui et me l’enfoncer jusqu’à la gorge tout en le lacérant le dos de son fouet court avec l’autre main. Guy m’a v i o l é la bouche et démonté le dos, les fesses et le haut des cuisses. Sous les coups, j’en oubliais  son projet de me faire boire que j’ai bu sans m’en rendre réellement compte, son sperme se mélangeant avec ma salive générée par la pipe f o r c é e. Quand il s’est arrêté de me fouetter et qu’il m’a annoncé avoir jouis j’étais bien, je ne me suis pas arrêté de le sucer, cette fois avec plaisir comme si je m’accrochais à la vie en bouffant sa queue.

« J’ai de grands projets pour toi » m’a annoncé Guy.

Après cette grande soirée qui m’a fait découvrir la jouissance dans la douleur et le subespace, Guy m’a fait découvrir deux choses, ma vraie nature de slave gay et une autre forme de jouissance du cul. On peut effectivement jouir du cul !

Il a commencé par s’occuper de dilater le « fion de sa larve » en lui imposant le port de plug de plus en plus gros mais sans jamais retirer ma cage de chasteté. Les week-ends où il organisait des soirées SM, je fais la bonne, le jouet avec lequel on peut s’amuser, Guy s’éclate dans la perversité en m’humiliant tant par ce qu’il fait que par les mots qu’il dit en parlant de moi. Il y a quinze jours, j’ai servis de porte manteau entravé dans son entrée. Il m’avait attaché nu avec les bras en croix, des portemanteaux étaient accrochés à mes seins par des pinces, à ma cage de chasteté et à mes bras. Je n’ai pas eu le droit de fumer ni de prendre l’apéro, j’ai même cru qu’il m’avait oublié. Cette soirée là, j’ai très peu servi de jouet, hormis une petite séance de fouet et deux pipes faites à deux soumis qui n’appréciaient pas plus que ça le jeux de leurs Maîtresses dont une m’a enculé au gode ceinture pendant que je suçais son soumis envieux.

Cette nuit là fut difficile pour moi, j’ai du dormir assis entravé dans sa baignoire et lui servir de latrine. L’énorme gode que j’avais dans la cul m’a beaucoup perturbé car il poussait un max bien que je sois assis dessus. Au petit matin, en guise de libération, il m’a pissé sur la tête en insulté parce que j’avais osé lui demander de me libérer. Le paradoxe est que cela m’a fait bander dans la cage et donc arraché un peu les couilles puisque ma bite ne pouvait prendre sa taille normale. Cette excitation originale pour moi m’a permis de lécher la goutte, chose que je n’avais jamais faite avant. Une fois libéré, la douche fut particulièrement salvatrice.

Aujourd'hui, je suis devenu son chien, sa chose, sa larve, sa petite salope, les femmes ne me manquent plus j'ai trouvé mon équilibre. Cet équilibre m'a permis de devenir le directeur d'une grande société avec trois cent quarante salariés qui se méfient de moi car dans le travail, je suis tout le contraire.

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